Cybersécurité et services d'infrastructure IT

Vinci Energies rachète le groupe Fernao

Vinci Energies annonce l’acquisition du groupe allemand Fernao. Présent en Allemagne et en Suisse, le groupe fournit des solutions de cybersécurité et des services d’intégration et d’exploitation d’infrastructures IT.

De gauche à droite. Gueven Zorba (Axians), Burim Mirakaj (VINCI Energies), Nico Birk (Fernao), Dr. Reinhard Schlemmer (VINCI Energies), Vanja Rohr (Fernao), Olaf Niemeitz (Axians).
De gauche à droite. Gueven Zorba (Axians), Burim Mirakaj (VINCI Energies), Nico Birk (Fernao), Dr. Reinhard Schlemmer (VINCI Energies), Vanja Rohr (Fernao), Olaf Niemeitz (Axians).

Le français Vinci Energies rachète le groupe Fernao. La société est spécialisée dans les solutions de cybersécurité et les services d’intégration et d’exploitation d’infrastructures IT pour une clientèle de secteurs variés. Basée à Cologne, Fernao compte 770 collaborateurs répartis sur 26 sites en Allemagne et en Suisse. L’entreprise a réalisé un chiffre d’affaires de 260 millions d’euros lors de son dernier exercice.

Vinci Energies va intégrer les activités de Fernao à sa marque Axians qui verra ainsi ses expertises renforcées dans la cybersécurité et les services IT. Présente dans 38 pays, Axians a enregistré des revenus de 3,6 milliards d’euros en 2023. Le chiffre d’affaires de Vinci Energies s’élève à 19,3 millards d’eutro, dont 4 milliards en Allemagne et en Suisse.

«Avec le groupe Fernao, nous renforçons significativement nos capacités en matière de cybersécurité dans notre réseau de marques Axians, pour l'Allemagne et la Suisse. Avec nos autres marques Actemium (industrie) et Omexom (infrastructures énergétiques), nous serons en mesure de fournir à nos clients davantage de soutien pour la protection de leurs infrastructures contre les cyberattaques», commente Dr Reinhard Schlemmer, membre du comité exécutif de Vinci Energies.

En 2022, Vinci Energies avait fait l’acquisition de Kontron, prestataire allemand également présent en Suisse, spécialiste de l’internet des objets. Un an plus tôt, l’entreprise française annonçait la construction d’un SOC à Bâle.

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